Daniel van de Velde a intitulé son installation"d'Alep et d'ailleurs".
Comme dans le travail de Xavier Gonzalès, un élément rapporté et sectionné -un tronçon de pin d'Alep- s'introduit entre les branchages des arbres bien implantés sur les bords de la Vire.
Une opération d'ordre alchimique est attendue: les cercles de croissance, touchés par la lumière solaire prendront la marque "spécifique du lieu", devenant "alors solidaire de son support" et formant un tout aux yeux du spectateur.
Ledit spectateur peut aussi laisser vagabonder son imagination en observant sous différents angles, cet OSNI (objet statique non identifié) .
Je lui trouve une allure de lunette astronomique (pour observer d'autres mondes ?) ou de flûte, dont le vent serait le maestro.
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Les deux photos ci-dessous semblent correspondre à une autre version du projet, beaucoup moins dynamique, sur le chemin...
Ebauche?
Essai raté?